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Troubles Sexuels

Les troubles sexuels masculins tels que l'impuissance sexuelle, la dysfonction érectile, les maladies sexuellement transmissibles et l'éjaculation précoce sont quelques uns des sujets abordés dans cette section.

Insensibilité du pénis : le syndrome du « Death Grip »

22 août 2012 By Homme Laisser un commentaire

Qu’est-ce que le syndrome du Death Grip ?

Le « Death Grip Syndrome » (DGS), c’est quand un homme se masturbe régulièrement en utilisant une poigne trop forte ou trop serrée et cela sans aucune lubrification (aussi appelé la masturbation à sec). En conséquence, il subira une perte de sensibilité et avec le temps, il aura besoin de plus en plus de stimulation pour atteindre un orgasme. Cela peut également se traduire par l’incapacité d’atteindre l’orgasme pendant les rapports sexuels. Ce problème, en plus du stress ou de soucis psychologiques peut entraîner une dysfonction sexuelle.

Insensibilité du pénis : le syndrome du « Death Grip »

La masturbation et le sexe sont deux activités qui procurent beaucoup de plaisir et vous l’avez toujours fait aussi souvent que vous le pouvez depuis que vous avez découvert ces pratiques. Mais depuis quelques temps, ça n’est tout simplement pas aussi bon qu’avant et votre pénis semble engourdi. Ça vous prend beaucoup plus de temps pour atteindre l’orgasme, et parfois, vous regardez votre pénis en pensant « à quoi bon s’obstiner ? »  Serait-ce parce que vous avez agrippé votre pénis si fermement tout en vous masturbant pendant toutes ces années que vous avez perdu la sensibilité de votre verge ?

Vous êtes probablement en train de faire l’expérience de ce qui est communément appelé le « Death Grip Syndrome ». Mais pas d’inquiétude car vous n’avez très probablement pas perdu toute sensibilité de votre pénis. Toutes les terminaisons nerveuses que vous avez toujours eues sur cette partie de votre corps pour profiter du toucher et des sensations physiques pendant les actes sexuels sont encore bien présentes et intactes, mais votre cerveau est devenu conditionné à votre méthode limitée de stimulation au fil des ans et il ne répond pas aussi intensément aux signaux de plaisir en provenance de votre pénis. En bref, votre cerveau est en quelque sorte blasé de votre régime sexuel.

Cela peut être une situation frustrante, non seulement quand vous vous masturbez, mais aussi pendant les rapports sexuels. Très souvent, les hommes vont développer un style de masturbation qui est si serré, rapide et intense, qu’ils peuvent avoir une certaine difficulté à être sensible à des formes plus subtiles de stimulation telles que le sexe vaginal ou oral. Cela peut être frustrant pour les deux partenaires. Si votre méthode habituelle de masturbation est la seule façon qui vous permet d’atteindre un orgasme, et que même celle-ci est en train de devenir un problème, vous avez probablement le syndrome du « Death Grip ».

La bonne nouvelle c’est que vous n’êtes pas vraiment endommagé, et le DGS n’est pas une condition médicale. Ce n’est pas une maladie et ce n’est pas non plus quelque chose qui est irréversible. En fait, reprendre contact avec ce qui procure des sensations de plaisir peut être un exercice très agréable. Cependant, la dysfonction sexuelle peut indiquer d’autres conditions médicales. Si vous éprouvez des engourdissements au niveau du gland ainsi que des problèmes à atteindre l’orgasme pendant les rapports sexuels, vous avez peut-être des problèmes médicaux qui doivent être vérifiés par un médecin. Si le problème à atteindre l’orgasme persiste, ou si vous rencontrez d’autres problèmes, allez consulter votre médecin.

Comment avez-vous attrapé le syndrome masturbatoire du « Death Grip » ?

A partir du moment où vous avez découvert qu’il était agréable de vous toucher, vous n’avez pas été en mesure de cesser cette pratique, n’est-ce pas ? C’est tout à fait normal. Et depuis lors, comme pour tout ce qui est bon, vous l’avez fait beaucoup et le plus souvent possible. Et parce que vous l’avez fait beaucoup, en commençant sans doute lorsque vous étiez enfant, vous avez dû le faire rapidement pour éviter l’embarras d’être pris en flagrant délit.

Peu importe si vous êtes cool ou si vos parents, frères et sœurs, colocataires, petite amie sont tolérants, vous ne voulez tout simplement pas vous faire surprendre pendant vos plaisirs solitaires. Donc, au fil du temps, vous avez développé une technique pour atteindre un orgasme très rapidement. C’est probablement grâce à une poigne assez serrée, un mouvement très rapide, et peut-être quelques contractions intenses du corps pour vous aider à éjaculer.

Mais, le « Death Grip », c’est aussi une question d’être tributaire d’une seule méthode de masturbation pour atteindre l’orgasme, et ça exige de plus en plus de pression pour ressentir les mêmes sensations, si bien que cela interfère avec votre capacité à profiter de la stimulation subtile des rapports sexuels et affecte l’ensemble de votre plaisir sexuel. Ainsi, même si la méthode que vous utilisez pour vous masturber n’est peut-être pas la même que celle qui est décrite ci-dessus, si vous êtes dépendant de votre propre technique, vous êtes probablement devenu insatisfait et malheureux puisque les vrais rapports sexuels ne vous procurent pas ou plus le plaisir espéré.

Les symptômes

  • Faible sensibilité du pénis
  • Problèmes à atteindre l’orgasme pendant les rapports sexuels
  • Peau du pénis rugueuse ou calleuse

Comment faire pour guérir le « Death Grip »

La meilleure façon de guérir le « Death Grip », c’est d’abord l’abstention. Commencez par vous abstenir de vous masturber pendant au moins une semaine. Chaque semaine qui suit, vous êtes autorisé à vous masturber une fois de plus que la précédente. Une fois, pendant la deuxième semaine, deux fois au cours de la troisième semaine et ainsi de suite jusqu’à ce que vous atteigniez votre fréquence de masturbation régulière.

Le truc, c’est que quand vous vous masturbez avec votre main, vous devez vous assurer d’utiliser une légère pression et une bonne quantité de lotion / lubrifiant intime ou bien d’utiliser des sextoys pour homme comme les masturbateurs Fleshlight. Le but est aussi d’atteindre l’orgasme avec un seuil inférieur de sensibilité donc si vous ne pouvez pas atteindre l’orgasme sans stimulation excessive dans un premier temps, ne vous inquiétez pas et persévérez.

Fleshlight Girls Orgy

L’utilisation d’un masturbateur masculin comme la Fleshlight, qui stimule les sensations d’un vrai rapport sexuel, s’est révélée efficace pour inverser les symptômes du syndrome du Death Grip et pour restaurer la sensibilité du pénis lorsque que vous allez reprendre une fréquence de masturbation régulière. La Fleshlight est un sex toy très populaire pour les hommes qui fournit une stimulation qui ressemble beaucoup plus à celle que vous pouvez ressentir pendant les rapports sexuels que celle que vous procure votre main. Cela vous permet de vous habituer à ce type de stimulation exclusivement au lieu de la « branlette », qui ne ressemble en rien aux rapports sexuels avec votre partenaire.

Avec une Fleshlight, vous pouvez pratiquer aussi souvent que vous le désirer et sans pression. De plus, le boîtier vous empêche d’appliquer une pression supplémentaire avec votre main, puisque c’est cela qui a contribué au problème du  « Death Grip » en premier lieu. Tout cela fait de la Fleshlight un outil potentiellement précieux pour les gars qui essaient de surmonter leur dépendance à la masturbation « Death Grip » et qui veulent ressentir plus de sensations pendant les vrais rapports sexuels.

Vous pouvez consulter le site Web de Fleshlight ici.

Classé sous :Troubles Sexuels Balisé avec :Fleshlight, Masturbation

Prévenir la dysfonction érectile par des moyens simples

22 août 2012 By Homme Laisser un commentaire

Mieux vaut prévenir que guérir…

La dysfonction érectile peut se définir comme une incapacité continue et répétée d’obtenir ou de maintenir une érection. C’est aussi l’incapacité d’avoir une érection assez rigide et d’être capable de la maintenir assez longtemps pour aller jusqu’au bout d’un rapport sexuel.

Prévenir la dysfonction érectile par des moyens simples

L’impuissance ou la dysfonction érectile est un trouble ou un problème très répandu, dans la mesure où il affecte 10 à 15 % de la population masculine dont un homme sur trois de plus de soixante ans. Pour ne parler que des Etats-Unis, on dénombre 10 à 15 millions d’hommes qui tentent de faire face à ce type de dysfonction sexuelle.

Comment savoir si vous êtes atteint de dysfonction érectile ?

Si vous êtes atteint d’impuissance légère à modérée, il peut vous arriver occasionnellement d’avoir une érection. Toutefois, vous pouvez quand même avoir des rapports difficiles, parce que l’érection ne peut pas être maintenue. Très souvent, le pénis érigé n’est pas suffisamment long, dur ou dressé pour une pénétration. Certains hommes cessent d’avoir des érections pendant leur sommeil ou au réveil. D’autres dont le taux de testostérone est peu élevé, développent une poitrine gonflée, une voix plus aigue ; les testicules rétrécissent, l’énergie baisse ainsi que la masse musculaire.

Les causes de l’impuissance masculine

Tout ce qui obstrue ou conduit à une insuffisance de flux sanguin (faible circulation) dans le pénis est susceptible de provoquer une incapacité à obtenir ou à maintenir une érection. Quelques-unes des causes les plus fréquentes de la dysfonction érectile incluent :

Cause psychosociale : c’est la cause la plus fréquente. Pour beaucoup d’hommes, la dysfonction érectile ne résulte d’aucun problème de santé physique. Elle est plutôt le résultat de problèmes émotionnels ou psychologiques (par exemple le stress mental), qu’ils connaissent ou ont connu dans le passé.

Maladies ou troubles chroniques : certains troubles débilitants de longue durée tels que le diabète, peuvent aussi provoquer l’impuissance. Par exemple, 50 % des hommes diabétiques connaissent l’impuissance après 55 ans.

Cause inconnue : dans environ 5 % des cas, la dysfonction érectile n’a pas d’origine connue.

Comment prévenir la dysfonction érectile ?

Exercice : une activité physique saine d’au moins 30 minutes chaque jour s’est révélé avoir un effet significatif sur l’amélioration de la dysfonction érectile. Cet exercice peut aller de la marche rapide à la natation, du jogging au vélo. Tout ce qui fonctionne pour vous est bon. Ce dont vous avez besoin, c’est d’entretenir votre circulation sanguine.

Adoptez un régime alimentaire bien équilibré : votre alimentation doit être faible en graisses, pauvre en calories et riche en antioxydants et en vitamines telles que les vitamines du complexe B, les vitamines E, A, C & D. Elle doit également comporter des quantités suffisantes de minéraux, comme le zinc (qui a un rôle important dans l’amélioration de la puissance masculine).

Dormez suffisamment : pour votre santé globale, il est très important d’avoir un sommeil paisible d’au moins 6 à 8 heures par 24 heures et ceci est vrai pour la santé sexuelle en particulier. Un bon sommeil améliore l’état psychologique (grande cause d’impuissance masculine) mais assure aussi un flux sanguin régulier et constant dans tout votre corps.

Classé sous :Troubles Sexuels Balisé avec :Dysfonction Érectile, Érection, Impuissance

Conseils pour combattre les problèmes communs de la prostate

19 juillet 2012 By Homme Laisser un commentaire

Introduction et contexte

A côté des principaux problèmes et maladies de la prostate comme l’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP), la prostatite et le cancer de la prostate, se produisent aussi fréquemment des troubles qui peuvent provoquer des situations très gênantes pour les hommes, particulièrement avant ou pendant les relations sexuelles avec leurs partenaires.

Conseils pour combattre les problèmes communs de la prostate

Parmi celles-ci :

  • I’incapacité d’avoir une érection (connue aussi comme dysfonction érectile ou impuissance masculine)
  • l’érection différée (érection tardive)
  • l’érection faible, inconsistante
  • l’éjaculation prématurée

Adopter une mode de vie et un régime alimentaire sains contribue à réduire les symptômes chez certains hommes. Parmi ces changements se trouvent :

Des mesures diététiques

Des problèmes prostatiques modérés (tels que ceux mentionnés ci-dessus) peuvent être soulagés grâce à des modifications simples de votre style de vie : éviter l’alcool, diminuer la caféine (thé et café), manger et boire plus légèrement le soir. Diminuer la consommation totale de liquides (moins d’eau et de jus de fruits) et vider votre vessie selon un horaire fixe (uriner à des moments déterminés) a prouvé sa grande efficacité. De même, il a été scientifiquement prouvé que le fait de manger des fruits et des légumes crus (particulièrement ceux qui ont des feuilles vertes) améliore aussi significativement votre vie sexuelle et contribue à traiter la dysfonction érectile. Il faut se souvenir que les fruits et les légumes sont bourrés d’antioxydants qui ralentissent la prise de poids chez les deux sexes et augmentent la circulation sanguine chez les hommes, ce qui est crucial pour maintenir l’érection pendant la relation sexuelle.

Il faudrait aussi manger beaucoup d’aliments riches en vitamine E, qui contribuent à améliorer la circulation sanguine. Parmi les aliments riches en vitamine E, figurent les produits à base de soja, le germe de blé, les légumes à feuilles vertes, les céréales à grains entiers. Il en est de même avec le zinc. La carence en zinc est fréquente chez les hommes souffrant de dysfonction érectile. Vous devriez donc manger des aliments riches en zinc, qui aident la prostate et améliorent les niveaux de testostérone. Parmi les aliments riches en zinc, se trouvent les grains de soja, les graines de citrouille et de tournesol. On peut aussi prendre un supplément quotidien de zinc, de 10 à 20 mg.

l-arginine maleextraDe même, la L-arginine sert à produire de l’oxyde nitrique, un composé qui détend les vaisseaux sanguins, fonction très importante dans la sexualité. La L-arginine se trouve dans les produits laitiers, la viande, la volaille, le soya et le poisson et certains compléments comme MaleExtra.

Faire de l’exercice

La natation, le jogging, la course, le vélo ou même une marche rapide de 30 minutes chaque jour peut apporter de grands bénéfices à votre santé générale et à la santé de la prostate en particulier.

Le sommeil

Un minimum de 6 à 7 heures de sommeil par 24 heures est essentiel pour le bon fonctionnement de votre cerveau et pour la diminution du stress mental. Un long sommeil relaxant, pris de manière régulière, renforce également le système immunitaire et aide à se débarrasser de nombreux problèmes de santé, dont ceux qui sont liés à la prostate.

Si vous éprouvez des difficultés à avoir d’assez bonnes nuits de sommeil en raison de la nycturie (fréquent besoin d’uriner pendant la nuit), essayez de prendre une sieste supplémentaire dans l’après-midi ou la soirée.

Classé sous :Troubles Sexuels Balisé avec :Prostate, Testostérone

Boutons sur le pénis

9 juin 2012 By Homme Laisser un commentaire

Faut-il s’inquiéter ?

Les boutons sur le pénis peuvent n’être que de simples boutons, comme des taches sur le visage, mais ils peuvent être aussi les signes d’une maladie sexuellement transmissible (MST) ou encore un phénomène simplement normal.

Boutons sur le pénis

Qu’est-ce qui provoque des boutons sur le pénis ?

Les MST : si vous n’avez jamais eu de relations sexuelles, vous n’aurez certainement pas de MST. Mais si vous avez eu récemment des relations sexuelles non protégées, les boutons peuvent être un signe de MST tel que verrues génitales, syphilis, chancre mou ou l’herpès génital comme le papillomavirus humain (HPV) qui peut être la cause de verrues génitales en relief ou plates, blanches ou de couleur chair, qui ne créent généralement ni démangeaisons ni brûlures. Le VMC (virus du molluscum contagiosum) apparenté à la famille des pox virus, se manifeste par des grappes de bosses blanchâtres avec une indentation centrale. Ces deux troubles doivent généralement être soignés par un traitement topique ou par une intervention chirurgicale. L’herpès aussi peut se manifester par des bosses, des boutons semblables à des morsures ou par une éruption croûteuse, sans inconfort physique, mais il apparaît plus souvent sous forme de plaies ou de cloques qui démangent et brûlent.

Boutons sur le pénis : ce qui est normal

Mais n’oubliez pas toutefois que la peau du pénis est bosselée ou grumeleuse et qu’il est donc possible que vous n’ayez rien d’autre qu’une configuration normale du bas de votre corps. Les bosses sur votre pénis peuvent également être des kystes sébacés de follicules pileux ou une réaction allergique, tous deux inoffensifs et non contagieux et qui ne demandent pas d’intervention. Ou encore, les surfaces en relief pourraient être des papules péniennes perlées (couronne perlée du gland ou couronne sous balkanique), apparaissant souvent comme un ou deux anneaux de petites bosses « nacrées » ou comme des grosseurs en forme de dôme autour du gland (la tête du pénis) et qui sont également sans danger.

Couronne perlée du gland
Couronne perlée du gland

De plus, les papules péniennes sont fréquentes : ces petits boutons blancs sur le gland peuvent se résumer à quelques lésions sur le pénis ou être plus nombreuses. Ce sont des glandes normales, généralement situées autour de la couronne de la tête du pénis. Elles semblent se développer de manière plus évidente au cours de l’adolescence et peuvent être alarmantes. Elles ne disparaîtront jamais totalement, elles s’atténueront avec l’âge. Les patients demandent souvent un traitement pour des raisons cosmétiques mais ce n’est pas conseillé.

Enfin, puisqu’il n’est pas possible de déterminer la nature de ces grosseurs sans diagnostic médical, allez tout de suite consulter un médecin tant qu’elles sont encore visibles. En attendant, le mieux est de jouer la sécurité et d’éviter les contacts avec les organes génitaux de votre partenaire (même avec un condom) jusqu’à l’obtention de votre certificat de bonne santé mais de grâce, allez tout de suite à la clinique. La plupart des MST se soignent facilement si elles sont traitées dès le début.

Classé sous :Troubles Sexuels Balisé avec :Pénis

Comment savoir si vous avez un problème de prostate

7 juin 2012 By Homme Laisser un commentaire

Identification et confirmation…

Beaucoup d’hommes qui souffrent de troubles ou problèmes de la prostate n’ont pas de symptômes importants et ces symptômes ne commencent à apparaître que lorsque la prostate a grossi de manière significative. Les termes qui suivent vous aideront à comprendre quelques-uns des symptômes les plus fréquents auxquels vous serez confrontés si vous avez des problèmes ou maladies de la prostate.

Toucher rectal et problème de prostate

L’urgence : l’urgence fait référence au sentiment impérieux de devoir faire pipi sans délai.

La fréquence : c’est le besoin faire pipi fréquemment, surtout la nuit, ou le court laps de temps qui s’écoule entre les envies d’uriner. Le terme « fréquence nocturne » ou « nycturie » désigne l’obligation de se lever plusieurs fois par nuit pour uriner (plus de deux fois). Evidemment, cela interfère avec le fait de passer une bonne nuit.

L’hésitation : la difficulté de commencer à uriner ou l’obligation de se forcer pour faire pipi ou le besoin d’un long temps pour terminer.

La miction par à-coups : fait référence à une irrégularité d’urine.

La rétention urinaire : dans ce symptôme, la vessie ne peut pas se vider totalement ce qui provoque un besoin plus fréquent de faire pipi.

Incontinence de débordement ou d’urgence : un symptôme dans lequel l’urine déborde de la vessie pleine, de manière incontrôlable, alors même que la miction normale ne peut être commencée.

La douleur (dysurie) : douleur au moment de la miction ou au moment de l’orgasme.

Les symptômes plus sérieux et plus importants pouvant indiquer un problème plus grave ou même une menace vitale (telle que le cancer) incluent :

  • Du sang dans l’urine ou le sperme (le terme médical étant hématurie)
  • L’impuissance (le terme médical étant dysfonction érectile)
  • Des douleurs dans le dos, dans les hanches ou le pubis

Comment être sûr que vous avez un problème lié à la prostate

Pour établir un diagnostic correct sur un possible trouble de la prostate, la première chose que fera le médecin est d’établir votre histoire clinique approfondie. Ceci peut inclure une brève série de questions sur votre style de vie, vos symptômes et les désagréments qu’ils vous causent.

L’examen physique : votre médecin établira ensuite un examen clinique détaillé et le point le plus important de cet examen est un toucher rectal (TR).

Qu’est-ce que le TR ?

Abréviation pour « toucher rectal », cet examen implique l’exploration de votre prostate et de la zone voisine par l’insertion d’un doigt dans le rectum (la dernière partie du gros intestin) par l’anus. Par conséquent, votre médecin insérera un doigt ganté et lubrifié dans votre rectum pour palper la prostate. Sa taille, sa texture et sa sensibilité fournissent des informations importantes. Si vous souffrez d’une prostatite aigüe, votre médecin découvrira que votre prostate est chaude, dure, gonflée et particulièrement sensible (douloureuse).

Test urinaire : pour exclure une infection bactérienne, vous devrez fournir un échantillon d’urine pour le dépistage d’une infection. Un bilan urinaire détaillé est un test d’urine ordinaire. Si les résultats du test indiquent que des bactéries sont présentes dans l’urine, il est possible que vous ayez un trouble de la prostate ou une infection. Si vous n’avez pas d’infection urinaire, le médecin peut avoir besoin d’un échantillon du liquide prostatique recueilli au cours de l’analyse puis envoyé au laboratoire pour détecter la présence éventuelle de bactéries.

La cystoscopie : un autre examen appelé cystoscopie peut aussi être effectué pour exclure d’autres troubles qui pourraient être responsables des symptômes liés à la prostate. A peu près comme pour l’« endoscopie » bien connue, la cystoscopie implique l’insertion d’un tuyau dans la vessie à travers l’urètre. Ce cystoscope est un instrument comme un mince télescope, équipé de lentilles et d’une source lumineuse qui permet au médecin de voir la vessie et la prostate.

Le test PSA : l’antigène prostatique spécifique est une protéine (une enzyme) produite par certaines cellules de la glande prostatique. Il est normal de trouver du PSA dans le système sanguin masculin. Un test PSA est une analyse sanguine qui mesure la quantité de PSA dans le sang. Un niveau élevé peut suggérer l’existence d’un trouble de la prostate, comme la prostatite.

Enfin, il est très important pour vous de vous souvenir que les symptômes mentionnés ci-dessus ne se limitent pas exclusivement à un « seul » problème spécifique de la prostate et peuvent être trouvés dans presque tous les problèmes et troubles de la prostate.

Classé sous :Troubles Sexuels Balisé avec :Prostate

Classification des anomalies et des troubles de la prostate

6 juin 2012 By Homme Laisser un commentaire

Les types et les différences…

Bien que les maladies et anomalies de la prostate peuvent revêtir diverses sortes et formes, les troubles les plus fréquents et les plus graves incluent :

  1. La prostatite (aigüe et chronique)
  2. L’HBP
  3. Le carcinome de la prostate

Anomalies et troubles de la prostate

Pour en savoir plus sur chacune de ces maladies :

Qu’est-ce que la prostatite ?

Pour les hommes de moins de 50 ans, le problème de prostate le plus répandu est la prostatite. D’une manière générale, il faut savoir que tout terme ou mot qui se termine par le suffixe « ite » désigne presque toujours l’inflammation d’une glande ou d’un organe spécifique de l’organisme. La gingivite, par exemple, désigne une inflammation des gencives. De même, la dermatite désigne une inflammation de la peau. Il en va de même pour la prostate. La prostatite est donc simplement une « inflammation de la prostate ».

Quelles sont les différentes sortes de prostatite ?

D’une manière générale, sur la base de leur gravité et de leur durée, les prostatites se divisent en deux catégories principales :

  1. La prostatite aigüe
  2. La prostatite chronique

Quelle est la différence entre la prostatite aigüe et la prostatite chronique ?

Prostatite aigüe

La prostatite aigüe se déclare de manière soudaine et se manifeste par des symptômes sérieux, tels qu’une miction douloureuse, une incapacité de vider totalement la vessie en urinant, de fortes douleurs dans et autour de la partie basse de l’abdomen, et parfois de la fièvre et des frissons.

Prostatite chronique

Une prostatite qui revient à intervalles réguliers est appelée prostatite chronique. Elle se développe progressivement et persiste sur le long terme ; elle peut être causée par une bactérie. Toutefois, dans de nombreux cas, les bactéries ne sont pas en cause. Cette sous-catégorie de prostatite chronique est connue comme une « prostatite non bactérienne ».

Qu’est-ce que l’HBP ?

Dans sa définition la plus simple, le terme de « Hyperplasie bénigne de la prostate » se réfère à un développement non cancéreux de la glande prostatique.

Quand l’homme vieillit, sa prostate peut grossir et restreindre le flux urinaire, phénomène connu sous le nom de HBP.

Pour une meilleure compréhension du HBP, voyons rapidement ce que désignent les termes suivants :

Bénin : ce terme s’applique à tout ce qui n’est pas susceptible de « s’étendre ». En d’autres termes, une tumeur qui n’est « pas cancéreuse » est dite bénigne.

Hyperplasie : ce terme s’applique à une multiplication des fibres musculaires qui se traduit par une « augmentation » (grossissement) de la taille d’un organe ou d’une glande.

Qu’est-ce que le cancer de la prostate ?

Le cancer de la glande prostatique, qui porte le nom médical de carcinome prostatique est généralement désigné comme cancer de la prostate. Comme dit précédemment, le cancer de la prostate est le deuxième cancer plus fréquent chez les hommes (après le cancer de la peau), particulièrement aux Etats-Unis. Toutefois, c’est surtout une maladie de la vieillesse.

Dans ses premiers stades, le cancer de la prostate peut rester dormant ou « silencieux », sans aucun signe ni symptôme. Les premiers symptômes visibles sont généralement semblables à ceux que l’on trouve dans l’HBP ; à savoir la fréquence, l’hésitation, l’urgence urinaire ou l’incontinence. Les stades plus graves du cancer peuvent se manifester par :

  • La présence de sang dans l’urine ou le sperme (médicalement connue sous le nom d’hématurie)
  • L’impuissance (médicalement connue sous le nom de dysfonction érectile)
  • Des douleurs dans le dos, les hanches ou le bassin.

Classé sous :Troubles Sexuels Balisé avec :Prostate

La vérité sur les pompes à vide pour pénis

30 mai 2012 By Homme 1 commentaire

Quels sont les faits ? Qu’est-ce qui est fiction ?

Pompe à vide pour pénis

Qu’est-ce qu’une pompe pénienne à vide ?

Une pompe pénienne à vide est un appareil composé d’une pompe manuelle ou à moteur, d’une chambre et d’un cylindre. Le cylindre se place sur le pénis. Le mouvement d’aspiration de la pompe crée un vide qui oblige le sang à se précipiter dans le pénis en le rendant rapidement rigide.

Principe de fonctionnement d’une pompe à pénis

Le principe de fonctionnement d’une pompe pénienne à vide est le suivant : par l’utilisation régulière d’une pompe à vide, le pénis sera plus souvent engorgé de sang ce qui le forcera à se développer. Il est supposé fonctionner mieux pour les hommes qui veulent ajouter de l’épaisseur à leur instrument. Outre sa fonction d’augmentation de la taille du pénis, la pompe à vide est parfois employée chez les hommes pour traiter la dysfonction érectile et pour la masturbation.

Quelques-uns des inconvénients liés à l’utilisation continue de la pompe à pénis sont :

  • Des résultats temporaires, à court-terme : selon l’expérience de tous les utilisateurs de pompes, les résultats obtenus sont seulement temporaires. Par conséquent, si vous cherchez à avoir un gros pénis pendant une dizaine de minutes, alors cela peut valoir la peine de l’envisager.
  • Requiert une utilisation de longue durée pour être efficace : pour que les changements soient permanents (s’ils le sont), les vendeurs de pompes à pénis suggèrent une utilisation continue d’au moins 6 mois avant d’espérer un résultat. L’utilisation régulière d’une pompe pendant six mois exige un grand engagement de la part de l’utilisateur.
  • Risques et effets secondaires : il faut éviter de pomper le pénis trop vite car cela pourrait causer une ecchymose ou une rupture des vaisseaux sanguins qui se trouvent immédiatement sous la surface de la peau. De la même manière, une mauvaise utilisation des pompes péniennes est vite arrivée. Il y a beaucoup de conjectures et d’essais et d’erreurs pour trouver la bonne manière d’obtenir le juste niveau de pression. S’il y en a trop, le risque est de blesser les tissus du pénis et peut-être de les rompre. L’effet secondaire qui est peut-être le pire est le risque d’attraper une dysfonction érectile, à cause d’un excès trop de pression.
  • Pas d’influence sur la taille du pénis : des études scientifiques montrent qu’il n’y a pas d’amélioration en ce qui concerne la taille du pénis. Quelques-unes ont investigué sur l’efficacité de l’utilisation d’une pompe à pénis. L’une de ces études a été effectuée sur 37 hommes et a été publiée  dans le British Journal of Urology. Selon les résultats de cet essai, les chercheurs n’ont pas constaté de changement significatif ou d’augmentation de la longueur du pénis, même après 6 mois d’utilisation de la pompe à pénis.

Conclusion

De ce qui précède, il ressort clairement et à l’évidence que les pompes à pénis ne sont pas seulement considérées comme sans efficacité pour obtenir une amélioration à long terme de l’érection ou un élargissement de votre pénis mais aussi comme porteuses de risques potentiels graves pour la santé et d’effets secondaires.

Classé sous :Troubles Sexuels Balisé avec :Dysfonction Érectile, Érection

L’éjaculation précoce – Plus qu’un simple moment de honte

19 mai 2012 By Homme Laisser un commentaire

Parmi les hommes sexuellement actifs, plus de 70 % ont connu un épisode d’éjaculation précoce à un moment ou à un autre de leur vie. Si une période d’éjaculation précoce n’a pas de quoi inquiéter, la question devient plus préoccupante quand elle se produit presque systématiquement.

L’éjaculation précoce

L’ÉP se définit comme une éjaculation qui se produit juste avant, pendant ou immédiatement après la pénétration vaginale.

L’éjaculation prématurée peut exister dès l’enfance elle-même et est alors qualifiée d’ÉP primaire. En revanche, si le problème se développe à l’âge adulte, il est connu sous le nom d’éjaculation précoce secondaire.

Bien que ce trouble sexuel soit, sans l’ombre d’un doute, très embarrassant, il mène de plus à un manque d’estime de soi, à une frustration sexuelle et jusqu’à la rupture de la relation. L’angoisse de la performance aggrave le problème car les hommes qui sont préoccupés par l’éjaculation prématurée ont souvent tendance à éjaculer trop vite. L’anxiété au sujet de la taille du pénis et la comparaison irréaliste avec celle des autres hommes peut également provoquer l’éjaculation prématurée.

Chez un homme qui n’est pas capable de maintenir une érection assez longtemps, le risque d’éjaculer trop rapidement augmente en outre de façon drastique. Il existe donc une relation évidente entre la dysfonction érectile et l’éjaculation prématurée.

Vous n’êtes pas condamné à souffrir de ce trouble sexuel votre vie durant. Le problème peut être traité et vous pouvez alors recommencer à jouir d’une vie pleine et satisfaisante. Il existe des traitements médicaux et des solutions qui devraient être pris sous surveillance médicale car ils comportent leur part d’effets secondaires. Le Jelqing et les exercices de Kegel sont connus pour aider aussi. Et l’on dit en outre que les méthodes du « start-stop » et « stop-squeeze » sont efficaces. Toutefois, malheureusement, aucun de ces traitements n’est permanent. C’est un problème qui est plus psychologique que physique. Le traitement doit donc renforcer les capacités mentales.

Il est intéressant de noter qu’augmenter la capacité d’un homme à maintenir son érection constitue une aide pour prévenir l’apparition de l’éjaculation précoce. La théorie qui se trouve derrière cette science stipule que l’ÉP se produit principalement en raison d’une faible estime de soi dans le domaine du sexe. Les hommes qui souffrent de dysfonction érectile ont souvent tendance à souffrir aussi de dépression et se sentent inutiles au lit. Ce sentiment contribue à augmenter les épisodes d’éjaculation précoce. Se sentir capables de maintenir une érection vigoureuse et durable donne aux hommes une confiance dans leur capacité à prester et leur permet donc d’éviter les épisodes d’ÉP.

En résumé, améliorer la fonction érectile aidera également à diminuer les cas d’éjaculation prématurée. Vous devez donc, si vous souffrez d’épisodes fréquents d’éjaculation précoce, prendre en considération les méthodes qui favorisent l’apport de sang dans le pénis. Cette augmentation d’afflux de sang aidera à améliorer la qualité de l’érection qui, à son tour, aidera à augmenter l’estime de soi et partant, à guérir l’éjaculation précoce.

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Stress et sexe ne font pas bon ménage

19 mai 2012 By Homme Laisser un commentaire

La dysfonction érectile peut être la cause des frictions qu’un couple rencontre dans sa relation.

L’incapacité de s’engager dans un rapport sexuel satisfaisant peut laisser un vide. Ce dont beaucoup d’hommes de prennent pas conscience, c’est que la dysfonction érectile est un état qui peut être inversé.

Stress et sexe

Les causes de la dysfonction érectile

La dysfonction érectile peut être provoquée par une série de facteurs divers. Quelques-unes des causes les plus fréquentes de la dysfonction érectile incluent les problèmes psychologiques tels que le stress, l’anxiété, la dépression et la culpabilité, mais aussi l’hypertension artérielle, le diabète, le surpoids, les maladies des reins et du foie et le manque de sommeil, entre autres choses.

Les problèmes psychologiques comme le stress, peuvent avoir un effet prolongé sur le mâle, comme par exemple de le rendre incapable d’avoir une érection. Beaucoup de nouveaux couples font cette expérience lors de leur première rencontre. L’homme est tellement stressé qu’il peut échouer dans la relation sexuelle. Il en résulte que le pénis ne peut avoir une érection complète ou que cette érection ne dure que quelques instants. Une expérience comme celle-ci ne sera pas seulement l’échec d’une nuit mais laissera à l’homme un sentiment d’incapacité.

L’exercice pénien est un « must »

Pour diminuer les risques de dysfonction érectile, l’homme devrait consacrer du temps à prendre bien soin de son corps. L’exercice régulier aide à la bonne circulation sanguine dans le corps et en particulier dans le pénis.

Toutefois, l’homme devrait également prendre le temps d’effectuer divers exercices avec son pénis. Le premier d’entre eux, appelé exercice de Kegel, fait travailler le muscle du corps qui contrôle le processus de l’éjaculation. En renforçant ce muscle, il est possible de faire durer l’expérience sexuelle plus longtemps et d’avoir des éjaculations plus fortes et intenses.

Le deuxième exercice porte le nom de jelqing et se pratique en faisant circuler le sang de la base à la tête du pénis. Ce procédé va amener les tissus du pénis à se développer, permettant ainsi un plus grand flux de sang dans le pénis au moment de l’érection.

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La thérapie par injection dans le pénis pour traiter la dysfonction érectile

10 mai 2012 By Homme Laisser un commentaire

Limites et inconvénients…

La thérapie par injection dans le pénis est utilisée depuis plusieurs années pour stimuler les érections chez les hommes atteints de diverses maladies. Elle a également été utilisée chez des hommes ayant, depuis plusieurs années, de faibles érections, à cause du diabète ou d’autres problèmes de santé. Si elle est bien effectuée, elle restaurera, chez la majorité des hommes ayant subi une lésion de la moelle épinière, la capacité d’avoir des érections. Sachez toutefois qu’aucune injection pénienne ne permet l’éjaculation.

Injection intra-caverneuse

Quels sont les médicaments utilisés dans les injections péniennes ?

Plusieurs médicaments se sont révélés capables de stimuler l’érection quand ils sont injectés dans le tissu érectile du pénis (le corpora). Aucun agent simple ne possède de garantie d’efficacité dans tous les cas. Toutefois, la Papavérine est largement utilisée et reconnue pour les injections intra-caverneuses. Un autre médicament de plus en plus utilisé est la Prostaglandine E 1 (connue aussi sous le nom de Caverject).

Presque tous les médicaments utilisés dans les injections péniennes agissent en provoquant la dilatation (élargissement) des vaisseaux sanguins du pénis. Ils provoquent donc l’érection en relâchant les muscles lisses et en élargissant les vaisseaux sanguins de la verge.

Les limites de l’injection pénienne

Autres précautions utiles : L’injection doit être pratiquée dans une zone précise de la verge. Ceci pour ne pas blesser les nerfs, les artères ou les veines. Ne piquez pas directement dans le haut ou le bas du pénis.

Difficulté d’ajustement du dosage : Il faut généralement deux à six injections pour trouver la dose exacte qui permettra une érection suffisamment ferme pour pouvoir faire l’amour. Il est important de suivre les prescriptions du thérapeute.

L’effet est temporaire : Alors que l’érection se produit généralement 5 à 10 minutes après l’injection, elle ne dure habituellement qu’une à deux heures et pas davantage.

Usage limité : De même, une auto-injection dans le pénis ne peut se faire qu’une ou deux fois par semaine au maximum et en aucun cas plus d’une fois par tranche de 24 heures.

Effets secondaires

Les injections péniennes, comme tous les autres médicaments, ont aussi quelques effets secondaires qui peuvent varier selon les quantités utilisées et la sensibilité de chaque individu au produit.

Parmi les effets secondaires fréquents, citons :

Erection prolongée (priapisme) : Il est arrivé dans certains cas qu’une érection se prolonge pendant plus de 4 heures après une injection dans le pénis. La cause en est parfois que les gens s’injectent des doses excessives de médicament. Cela peut aussi se produire occasionnellement lors de la première injection chez des personnes sensibles au médicament.

Grossissement anormal du pénis (fibrose) : il peut arriver de temps à autre qu’après une longue période de thérapie par injection, une fibrose (épaississement ou durcissement) se produise dans le tissu érectile du pénis.

Apparition d’ecchymoses : Dans de nombreux cas, des ecchymoses (bleus) apparaissent à l’endroit de la piqûre. Il se peut que ce soit sensible pendant quelques jours et il faut éviter une nouvelle injection jusqu’à la disparition de toute trace de l’ecchymose.

Conclusion

En fonction de ce qui précède, il apparaît à l’évidence que le choix des injections intra-caverneuses dans le pénis pour traiter la dysfonction pénienne ne convient pas à tous, à cause de ses nombreuses restrictions et du risque élevé d’effets secondaires.

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